La réponse de La Marelle
En réponse au PCF, la direction de La Marelle déclare :
« À qui profite un tel acharnement ? Une fois de plus, La Marelle se retrouve la cible d'attaques et d'accusations calomnieuses. Les difficultés à l'origine des licenciements économiques sont bien réelles.
Le PCF semble remettre en cause la légitimité de la décision du tribunal de commerce de Tarbes qui a prononcé sa mise en redressement judiciaire ? !
Quant aux licenciements pour fautes en cours, ils ont été prononcés sur la base de faits démontrés et qui d'ailleurs ne sont pas contestés par les intéressées.
Il est fait état des tentatives de dialogues à l'initiative des salariés, sans aucune mention des actions de conciliation engagées par la direction, tant avec l'inspection du travail, la médecine du travail qu'en interne.
De quel droit le PCF se permet-il d'affirmer que notre volonté est de « remplacer les employés grévistes » ?
Notre volonté, je le répète, est de sauver cette structure voulue par la municipalité, par les nombreux parents et par les institutions locales qui nous ont apporté leur soutien ces derniers mois malgré les tentatives de déstabilisation.
J'avoue ne pas comprendre l'acharnement dont certains font preuve à vouloir réduire à néant cette structure qui pourrait aujourd'hui employer 16 salariés si on lui en avait laissé la possibilité ! »
En réponse au PCF, la direction de La Marelle déclare :
« À qui profite un tel acharnement ? Une fois de plus, La Marelle se retrouve la cible d'attaques et d'accusations calomnieuses. Les difficultés à l'origine des licenciements économiques sont bien réelles.
Le PCF semble remettre en cause la légitimité de la décision du tribunal de commerce de Tarbes qui a prononcé sa mise en redressement judiciaire ? !
Quant aux licenciements pour fautes en cours, ils ont été prononcés sur la base de faits démontrés et qui d'ailleurs ne sont pas contestés par les intéressées.
Il est fait état des tentatives de dialogues à l'initiative des salariés, sans aucune mention des actions de conciliation engagées par la direction, tant avec l'inspection du travail, la médecine du travail qu'en interne.
De quel droit le PCF se permet-il d'affirmer que notre volonté est de « remplacer les employés grévistes » ?
Notre volonté, je le répète, est de sauver cette structure voulue par la municipalité, par les nombreux parents et par les institutions locales qui nous ont apporté leur soutien ces derniers mois malgré les tentatives de déstabilisation.
J'avoue ne pas comprendre l'acharnement dont certains font preuve à vouloir réduire à néant cette structure qui pourrait aujourd'hui employer 16 salariés si on lui en avait laissé la possibilité ! »
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