mercredi 15 juin 2011

Un diaporama sur la ville apprécié



Un diaporama sur la ville apprécié
maison de retraite
Les résidents ont apprécié le diaporama projeté sur la ville de Lannemezan./Photo J.-C. D.
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Le service culturel de la ville de Lannemezan et la maison de retraite Les Fougères avaient convenu de projeter, dans la salle de l'établissement, le diaporama sur l'évolution de Lannemezan au siècle dernier. Un long travail de recherches photographiques, cartes postales, archives diverses, conçu et réalisé par André Ducasse, avec la collaboration de Gilbert Puyau, mémoire vivante de la ville. Une œuvre déjà projetée à la mairie de Lannemezan, mais que n'avaient pas pu voir les pensionnaires des Fougères. Un grand moment d'émotion vécu par ces têtes chenues. Qui ont pu revoir : là, la maison de l'enfance ; là une rue, une place, un endroit synonyme de souvenirs marquants de leur vie…
Ce diaporama est fort bien conçu avec la voix-off, claire et précise de Wanda Dumaine qu'accompagne un fond musical très près de celui du cinéma muet tout en harmonie.
Un exercice intergénérationnel de première qualité qui a été vécu avec beaucoup de bonheur par les pensionnaires et qui mérite d'être diffusé à d'autres endroits de la ville et du Plateau.

L'importance du maintien des services publics

L'importance du maintien des services publics
débat
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La section de la Ligue des Droits de l'Homme de Lannemezan (LDH) a organisé une réunion thématique sur l'état des services publics en milieu rural et en montagne. Une quarantaine de personnes avaient répondu à l'invitation.
En préambule, le président Didier Périssé a rappelé l'attachement de la LDH aux principes universels édictés par la déclaration de 1789, actualisés en 1793 et en 1948. Les participants ont déploré les attaques subies par les services publics. Plus qu'ailleurs, en zone de montagne, la proximité des services publics est un facteur de vie, et d'ancrage pour la population.
Claude Sourdaine, de Convergences 65 (le collectif de défense des services publics), a indiqué que notre département est particulièrement touché dans tous les domaines : Éducation nationale, fermeture de classes et même d'écoles, santé, démantèlement de l'hôpital de Lannemezan. Pour La Poste, diminution de l'offre.
Comme le rappelaient en conclusion les orateurs : « Défendre les services publics, c'est défendre notre mode de vie et c'est l'affaire de tous ».

Lannemezan. Rencontre avec l'élue Gisèle Rouillon



Lannemezan. Rencontre avec l'élue Gisèle Rouillon
en toute intimité
Gisèle Rouillon, élue à Lannemezan et vice-présidente de la CCPL./Photo DDM.
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Après avoir été professeur pendant plus de trente ans à Garaison, Gisèle Rouillon s'investit désormais en tant qu'élue à Lannemezan et à la CCPL.
Gisèle Rouillon est l'élue en charge des affaires générales et de la formation à la mairie de Lannemezan et vice-présidente de la Communauté de communes du plateau de Lannemezan (CCPL). Elle nous en dit plus sur elle et sur sa vie.
Gisèle Rouillon, présentez-vous en quelques mots…
Je suis une enseignante en physique et chimie à la retraite. Durant ma carrière, j'ai exercé au lycée de Garaison pendant plus de trente ans car j'avais fait le choix de la proximité. J'ai une fille, Sabine, et deux petits-enfants, Ambre et Axel, avec qui je cultive l'art d'être grand-mère. Mon mari, Bernard, était infirmier. Il a aussi été un brillant joueur du CAL (rires).
Parlez-nous de votre enfance…
Avec mon jeune frère Jean-Louis, nous avons eu une enfance très heureuse, à Arreau, auprès de parents attentionnés et affectueux. En septembre 1961, mon père, professeur de maths, ayant été muté à Lannemezan, je suis arrivée en 3e au lycée Michelet. Hélas ! quatre mois après, son décès a constitué une rupture au plan familial, affectif et financier. J'ai donc passé le concours de l'école normale et, dès septembre 1962, j'ai intégré celle de Tarbes. De ces années d'internat, douloureuses au début, je garde globalement un bon souvenir, ayant trouvé réconfort et évasion dans les études et la lecture. Après le bac, je suis partie à la faculté de sciences à Toulouse où j'ai été admise au concours permettant d'accéder au professorat de lycée.
Comment et pourquoi vous êtes-vous engagée en politique ?
Dans mon enfance, j'ai vu mon père s'engager politiquement. Il a notamment été adjoint à la mairie d'Arreau. C'était un socialiste convaincu. C'est sans doute par rapport à lui que je me suis investie en politique. Ensuite, la rencontre avec Bernard Plano a été décisive. J'ai vu en lui un homme d'action, compétent et humain. Aussi, je n'ai pas hésité à le suivre.
Quelles sont vos passions dans la vie ?
Lire et m'investir au service des autres. J'ai fait mienne cette citation de Saint-Exupéry : « La grandeur d'un métier est peut-être avant tout d'unir les hommes : il n'est qu'un luxe véritable et c'est celui des relations humaines ». J'aime donc le relationnel avec les gens. J'essaie d'avoir toujours une attitude positive et tolérante, mais sans faiblesse.
En conclusion, qu'aimeriez-vous que l'on dise de vous, plus tard ?
Ce n'est pas ma principale préoccupation. Le culte de la personnalité, c'est dépassé. Si j'ai été un maillon efficace d'une chaîne, cela me suffit.

Lannemezan. De jeunes poètes au collège Gaston-Fébus




Lannemezan. De jeunes poètes au collège Gaston-Fébus
éducation
Les élèves du Collège Gaston Fébus de Lannemezan qui ont écrit des poèmes./Photo JC.D.
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Parler du collège autrement. C'est ce qu'ont fait les élèves de 6e du Collège Gaston Fébus qui ont écrit des poèmes pour raconter leur quotidien.
Jeudi 9 juin, c'était la fête des poètes des classes de 6e au collège Gaston Fébus. En présence de Cyrille Dubreuil, proviseur de la Cité scolaire, de Mme Delouard, principal, de Mme Coste-Lassite, inspectrice d'académie et des professeurs, les élèves ont lu leur œuvre avec une maîtrise et une confiance qui faisaient plaisir à voir malgré leur jeune âge.
Il est vrai qu'ils étaient beaucoup aidés par la petite mise en scène réalisée par François Chantelot, professeur documentaliste.
L'histoire a commencé au début de l'année scolaire, quand François Chantelot a posé la question aux classes de sixième de savoir comment ils appréhendaient le collège et comment parler de cette aventure toute nouvelle pour eux ; Si on le faisait par écrit ? En prose ou en vers ?
C'est finalement à travers les poèmes que le choix s'est porté.
Ce travail durant cette année scolaire a trouvé sa conclusion en ce mois de juin.
Le résultat est surprenant par la qualité de l'ensemble des 72 poèmes.
Pour preuve, celui de Mélody Loas (voir ci contre) sur le Collège.
Les auteurs, après un bon goûter organisé à leur intention ont reçu de la part de la Cité Scolaire un livre et un stylo en récompense.
Ces poèmes seront exposés à la librairie du Vent des Mots à Lannemezan.
Ne manquez pas d'aller les lire. Vous passerez un agréable moment.
repères
Le chiffre : 72
poemes >Ecrits. C'est le nombre de poèmes écrits par les élèves du Collège Gaston-Fébus.
Le collège de Mélody Loas
«La première fois que je t'ai vu, tu étais si grand, je me suis crue perdue. Alors, j'ai suivi tous ces gens. Empruntant tes couloirs, Oh là ! il fait un peu noir. Enfin la lumière dans ton escalier, Ca y est tu m'as sauvé. Et maintenant plein de portes, c'est vrai. Que parfois tu m'insupportes. J'ai bien fini par t'apprivoiser, Et toutes mes peurs se sont envolées. Voilà je vais te quitter, c'est la fin de la journée. Collège mon ami de tous les jours. À demain pour de nouveaux cours. »

Lannemezan. Ils ont fait leurs premiers pas d'acteurs de théâtre



Lannemezan. Ils ont fait leurs premiers pas d'acteurs de théâtre
culture
Les élèves du lycée Michelet de Lannemezan sur scène, au théâtre./Photo J.-C. D.
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Les élèves de l'atelier théâtre du lycée Michelet de Lannemezan ont régalé le public dans leur représentation de « Candide ou presque ! ».
Mercredi 8 juin, dans une salle des fêtes de Lannemezan bien remplie et en présence de l'inspecteur d'académie, l'atelier théâtre du lycée Michelet a présenté son spectacle de fin d'année intitulée : « Candide ou presque ! ». Professeurs et élèves avaient choisi de travailler ce conte de Voltaire en s'inspirant pour la représentation du livret de la comédie musicale sur une musique créée par Léonard Bernstein.
Ce conte de Voltaire tient plus de la dénonciation que de la pensée philosophique.
À travers ces personnages typés : le disert Pangloss, plein d'optimisme, qui ne cesse de répéter que nous vivons dans le meilleur des mondes possible. Le crédule est Candide, à qui on offre le contre-exemple en le faisant promener à travers un champ de cadavres d'une population massacrée et cruellement dépecée. Tout comme toujours Pangloss est pendu à Lisbonne parce qu'il a posé la question de Dieu après le terrible tremblement de terre qui a ravagé la ville.
Pour civiliser le monde, Voltaire oppose ainsi à la providence la civilisation du travail, plus sûre pour l'individu. Pour sa survie, « il lui est préférable de cultiver son jardin ».
Ovation et plaisir général du public partagé aussi par les professeurs et acteurs.
Pour Hervé Carrère, metteur en scène : « Le groupe a bien acquis les bases théâtrales, la voix, le corps, les gestes, le mouvement. Il est resté homogène en étant fidèle aux textes et à la musique ».
Stéphanie Parage et Cécile Campagnari étaient aussi ravies de ce résultat. Pourtant, Voltaire n'est pas facile pour des élèves de seconde.
Quant aux acteurs, Tess déclare : « C'était vraiment cool ! On s'est éclaté sur scène ! ». Pour Marcos : « C'était vraiment sympa ! On a pris du plaisir à travailler et on a eu aussi l'occasion de faire des rencontres ». Pour Ryder : « C'était génial, ça donne confiance ! Avant, je n'aurais jamais pu m'imaginer sur scène »….
À retenir
Quarante élèves s'étaient inscrits, en début d'année, à l'atelier théâtre et ont persévéré jusqu'au bout. Les élèves étaient pour la première fois partagés en deux groupes distincts : ceux de seconde, dans le cadre d'une initiation au théâtre, et ceux plus avancés, ayant déjà eu une expérience théâtrale qu'ils désiraient poursuivre autour du metteur en scène Hervé Carrère, qui encadre l'atelier depuis sept ans.

Lannemezan. Remise de diplômes à l'aïkido



Lannemezan. Remise de diplômes à l'aïkido
association
Des sportifs qui se sont distingués cette saison./Photo J.-C. D.
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Le Dojo du Plateau aïkido termine sa saison au complet avec plus de trente-cinq licenciés, dont dix enfants qui ont pu bénéficier des sages enseignements de cet art martial.
Les diplômes et symboles représentatifs des degrés d'acquisitions et de maîtrise de cet art ont été remis aux pratiquants qui ont atteint ces niveaux par le président Laurent Avrillon. Rappelons que l'aïkido n'est pas une discipline de compétition ou de combat, mais un art dont le but n'est pas de corriger les autres mais de se corriger soi-même.
Le palmarès 2010-2011 au Dojo du Plateau aïkido est le suivant :
1er dan aïkido shodan : Audrey Bompard, Célia Gougis, Karl Schreier.
1er kyu aïkido : Julien Forton, Jocelyn Romeu, Yannick Minihot.
À la prochaine rentrée, les cours auront lieu les mardis et vendredis soir pour les adultes, le samedi matin étant réservé aux enfants de moins de 14 ans.
Renseignements et informations complémentaires au 06.81.35.71.76 ou au 05.62.98.57.15 (après 18 heures).

Lannemezan. Le syndicat Sud s'installe et prend position



Lannemezan. Le syndicat Sud s'installe et prend position
hôpital
Corinne Piaser et Daniel Labarre, du Syndicat Sud./Photo C. S.
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Corinne Piaser et Daniel Labarre, du syndicat Sud des Hôpitaux de Lannemezan, réagissent après le dernier conseil de surveillance et annoncent l'ouverture d'un local syndical dans l'hôpital.
Tout d'abord, pourquoi le syndicat Sud n'a-t-il pas participé au rassemblement avant le dernier conseil de surveillance ?
Nous avons été destinataire d'une invitation à ce rendez-vous qui ne nous est pas parvenue. Depuis, nous avons pris contact avec le collectif de défense des Hôpitaux de Lannemezan et nous soutenons sans équivoque son action.
Quelle est votre réaction après le dernier conseil de surveillance ?
Nous sommes également favorables à la réouverture de la maternité, au recrutement d'un chirurgien aux urgences de nuit. Concernant la psychiatrie, nous sommes satisfaits de la position du conseil de surveillance qui a refusé le projet présenté. Maintenant, nous demandons à la direction de recruter un personnel répondant aux exigences de cette spécificité. On ne peut pas raisonnablement mettre en difficulté des patients avec un encadrement non adapté.
Quelles sont vos autres inquiétudes ?
Nous sommes contre la loi de réforme des soins psychiatriques qui, notamment, prévoit l'hospitalisation sans consentement pour des patients qui refuseraient leurs traitements. Confier à un directeur d'hôpital la responsabilité de mettre à l'isolement pendant 72 heures un patient est aussi inacceptable. Nous appelons à faire barrage à cette loi qui fait du malade en psychiatrie un délinquant en puissance.
repères
Le chiffre : 9
A l'Étage >. C'est dans ce bâtiment que se trouve le local syndical de Sud à l'hôpital de Lannemezan.
Un local Sud à l'hôpital
Depuis une semaine, Sud dispose d'un local à l'hôpital de Lannemezan. Il se trouve au pavillon 9, à l'étage. Le personnel qui souhaite rencontrer les délégués syndicaux de Sud peuvent prendre contact au 05.62.99.60.09 pour un rendez-vous.
Le syndicat Sud participera à la réunion publique organisée par le collectif de défense des Hôpitaux de Lannemezan, le mercredi 22 juin, à 20 h 30, à la salle du Renouveau du Plateau, sur la dépendance.

Lannemezan. Il agresse ses geôliers

Lannemezan. Il agresse ses geôliers
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« Ils avaient des casques et des boucliers. Ils étaient six, j'étais tout seul. Ils sont entrés dans ma cellule pour me passer à tabac, ça s'est retourné contre eux. » Mohamed Doumbia, 34 ans, est poursuivi pour violences sur des surveillants de la centrale pénitentiaire de Lannemezan. L'échauffourée a eu lieu le 30 mai dernier. Une semaine après l'arrivée à Lannemezan de Mohamed Doumbia. C'est son 13e établissement en quatre ans. Lors de son transfert dans les Hautes-Pyrénées, un pull lui appartenant a été égaré. Le 30 mai, Mohamed Doumbia avise un surveillant de la disparition de ce pull et il demande à voir le chef de la détention. Le gardien lui répond qu'il doit effectuer une demande écrite. « Vous vous êtes approché du surveillant et l'avez traité de plaisantin, puis vous lui avez porté un coup pied à l'épaule », raconte la présidente Gadoullet. Le gardien quitte la cellule et déclenche l'alarme. Ils reviennent à six pour conduire le détenu au quartier disciplinaire. Par l'œilleton, les surveillants remarquent une casserole d'eau qui chauffe sur la plaque. Ils font couper l'électricité, craignant qu'il ne leur jette de l'eau bouillante.
Une boîte de conserve dans un linge
Dans la cellule, Mohamed Doumbia a établi une barricade. En pénétrant dans la cellule, un surveillant glisse sur le sol recouvert d'eau savonnée. Même abrités derrière leurs boucliers, les gardiens sont atteints par l'arme de fortune confectionnée par Mohamed Doumbia. Il a noué dans un linge un boite de conserve de 500 g et l'utilise comme une matraque, blessant quatre gardiens. Ces derniers font notamment usage de bombe lacrymogène pour maîtriser le détenu. « Ils ont voulu faire les forcenés et voilà ce qui est arrivé. Ils m'ont dit : 'Ici, on est à Lannemezan, tu vas le savoir. La centrale de Lannemezan, c'est le camp nazi de la pénitentiaire'», se défend Mohamed Doumbia. Au quartier disciplinaire, le détenu menace les gardiens . « Vous leur avez dit qu'ils étaient en insécurité, même dehors », indique la présidente.
Pour Me Chevalier, conseil de trois des surveillants, parties civiles : « Mohamed Doumbia a voulu présenter sa carte de visite aux surveillants… Ces faits sont révélateurs de la difficulté du travail des surveillants. Sans leur professionnalisme, les conséquences corporelles auraient pu être beaucoup plus graves ».
Le substitut du procureur souligne les multiples condamnations du détenu pour violences. Il est d'ailleurs sous le coup d'une double récidive pour des faits similaires. « ça ne l'arrête jamais… Il aime bien casser les fonctionnaires de la pénitentiaire ». Et de requérir la peine plancher de 3 ans.
L'avocate de Mohamed Doumbia explique que son client ne « considère pas que les surveillants sont à son service. Il veut juste qu'ils soient à l'écoute… Il a réagi à l'attitude du personnel ».
Le tribunal a condamné son client à 3 ans de prison ferme. « C'est la troisième agression de gardiens depuis le début de l'année. Suite à la première, un gardien n'a toujours pas repris le travail… Il n'y a plus de respect de l'uniforme… Lannemezan est une centrale de sécurité, mais elle n'en a que le nom. Les plus durs détenus tournent dans les centrales. Nous sommes inquiets sur l'avenir de notre profession », confiait, à l'issue de l'audience, Jean-Claude Vigneau, du syndicat FO des surveillants de la pénitentiaire. Thierry Jouve

Les lycéens en Espagne



Les lycéens en Espagne
scolaire
Les élèves du lycée Michelet ont effectué un séjour à Bielsa./Photo DDM.
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La classe de 1re de section européenne espagnol du lycée Michelet, de Lannemezan, a été invitée par les jeunes Espagnols du projet Piredes subventionné par l'Union européenne à Pineta (Bielsa).
Ils ont fait des activités variées comme de l'astronomie, de la géologie, et ont découvert les paysages grandioses du Parc national d'Ordesa-Monte Perdido.
Ils ont aussi participé à des ateliers avec leurs homologues français et espagnols (régions du Sobrarbe, Somontano et Monegros en Aragon, et pays des Coteaux et du Val d'Adour en France) sur les thèmes du développement durable et de la citoyenneté européenne.
Ces quelques jours ont permis aux élèves du lycée de pratiquer l'espagnol, de connaître une autre vallée des Pyrénées et retrouver les jeunes Espagnols qu'ils avaient rencontrés à Jézeau en janvier dernier.
Ils tiennent à remercier tout particulièrement le pays des Nestes ainsi que tous les adultes qui leur ont permis de participer pendant l'année scolaire à ce projet européen.
Ce voyage restera un bon souvenir pur les élèves du lycée Michelet de Lannemezan.

Jean Glavany nouveau président de l'Office public de l'habitat (HLM)



Jean Glavany nouveau président de l'Office public de l'habitat (HLM)
logement
Maryse Beyrié cède la présidence de l'OPH à Jean Glavany./Photo Cyrille Marqué.
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Maryse Beyrié cède la présidence de l'Office public de l'habitat (OPH) à Jean Glavany « après treize années d'une aventure humaine et économique » débutée en 1998. « Dans un contexte difficile de baisse des aides de l'État, l'OPH a appris à vivre seul », a souligné Maryse Beyrié. Sous sa présidence, plus de 1.000 logements ont été livrés, dont 42 % à Tarbes (450 logements), 150 à Lourdes, Bagnères, Lannemezan et Vic-en-Bigorre, et 42 % en zone rurale et de montagne (500 logements). Près de 700 logements ont été reconstruits dans le cadre de l'Opération de rénovation urbaine (ORU), notamment sur le quartier de Laubadère qui a été intégré à la ville « sans pour autant perdre son identité ».
L'OPH a également répondu à la demande des maires en réhabilitant le patrimoine local en logements (écoles et presbytères).
Jean Glavany « retrouve avec plaisir et émotion » la présidence qu'il avait occupée avant 1998. « Je me battrai pour que le logement social redevienne une priorité politique », a lancé Jean Glavany.
Le nouveau président veut continuer à associer les locataires à la politique de l'office et travailler à « approfondir le partenariat avec le conseil général et le Grand Tarbes » pour solliciter des aides à la pierre.
La poursuite de l'ORU à Laubadère, dans les quartiers Nord, au centre ouest de Tarbes et à Lannedarré à Lourdes est sa priorité.