vendredi 13 septembre 2013

Depuis trente ans, l'inexorable déclin

Depuis trente ans, l'inexorable déclin

A Villemur (31), Molex a mis la clé sous la porte./Photo DDM, Thierry Bordas
A Villemur (31), Molex a mis la clé sous la porte./Photo DDM, Thierry Bordas
Où est passée notre industrie ? Les usines sont parfois encore là… mais vides et désertées. Dans le Grand Sud, on a assisté à un lent déclin de la petite et de la grande industrie… Un mouvement qui s’étale sur une trentaine d’années, mais qui semble inexorable.
En Ariège, l’industrie textile s’est étiolée au fil des années, notamment à Lavelanet où il y a encore 20 ans, deux à trois mille personnes étaient employées dans ce secteur. La production de papier périclite dans le Couserans. Il reste de la métallurgie, autour de Pamiers et la production hydroélectrique reste forte… mais la fabrication d’aluminium s’est arrêtée à Auzat.
Dans les Hautes-Pyrénées voisines, l’usine Alcan à Lannemezan elle aussi a fermé ses portes.
Après plus d’un siècle d’existence, l’Arsenal de Tarbes, devenu GIAT, et qui employait encore près de 2000 personnes au début des années 1990 a tiré le rideau en 2006.
Dans la Tarn, on songe bien sûr la fin des mines de Carmaux, mais aussi au lent émiettement des industries du vêtement : le délainage, autour de Castres et Mazamet, la mégisserie autour de Graulhet, la bonneterie à Gaillac… Symbolique aussi d’une époque, la fin de la métallurgie qui avait longtemps prospéré au Saut du Tarn avec la fabrication de râpes et de limes, qui avaient une réputation internationale.
Dans l’Aveyron, le charbon et la sidérurgie du Bassin ont vécu. L’industrie coutelière de Laguiole est devenue produit de niche, comme le gant à Millau, qui n’existe plus qu’à travers l’entreprise Causse, dans le très haut de gamme.
Dans le Tarn-et-Garonne ou le Lot la fermeture de Valéo, de Bouyé ou Ratier ont fait du mal dans des départements traditionnellement peu industrialisés. Dans le Lot-et-Garonne, la fonderie de Fumel va employer jusqu’à 3500 personnes. Il y en a dix fois moins aujourd’hui. En Haute-Garonne, le pôle chimique s’est considérablement réduit, surtout après la catastrophe d’AZF. A Villemur, Molex a mis la clé sous la porte. A Toulouse, les plans sociaux ont frappé Motorola, Freescale, et bien d’autres.
Dans l’Aude, les mines de Salsignes ont vécu et c’est surtout le tissu industriel de la Haute Vallée qui a beaucoup souffert : fabriques de meubles et de chaussures ont peu à peu disparu.
En trente ans, le paysage a considérablement changé, et des milliers d’emplois ont été perdus. Et avec eux, souvent un savoir-faire qui appartient désormais à un temps révolu.

Lannemezan. La CFDT affiche aussi son mécontentement

Lannemezan. La CFDT affiche aussi son mécontentement

hôpital

Daniel Cieutat, le secrétaire de la CFDT des Hôpitaux de Lannemezan, et  Claude Moro, membre du bureau./Photo Jean-Claude Du Pont.
Daniel Cieutat, le secrétaire de la CFDT des Hôpitaux de Lannemezan, et Claude Moro, membre du bureau./Photo Jean-Claude Du Pont.
À son tour, la CFDT critique la politique menée par le directeur des Hôpitaux publics de Lannemezan et conteste le montant du déficit annoncé.
Comme les syndicats CGT et SUD des Hôpitaux de Lannemezan et le Comité de défense des Hôpitaux publics de Lannemezan (Codehoplan), la CFDT dénonce la politique pratiquée par l’actuel directeur. «Nous ne sommes pas convaincus de l’exactitude des difficultés budgétaires pressantes. Le directeur annonce 685.000 € de déficit. Nous constatons que 35 % sont des erreurs de gestion. Il faut aussi savoir qu’une partie de la recette prévue au budget n’est attribuée par les tutelles qu’à la fin de l’exercice comptable, sous condition du respect du projet d’établissement, ce qui est réalisé aujourd’hui», met en avant Daniel Cieutat, le secrétaire de la CFDT des Hôpitaux de Lannemezan qui parle de «mesures prématurées qui ne tiennent pas compte de la dotation budgétaire réelle en fin d’exercice». La CFDT critique la nouvelle organisation de travail proposée et la qualifie de «dangereuse car elle prévoit de laisser seuls des agents dans certains services la nuit, et seulement deux agents les week-ends et jours fériés». «L’effectif minimum en psychiatrie a toujours été de trois agents pendant la journée et de deux agents la nuit, ce n’est pas le fruit du hasard, mais le résultat d’une analyse de l’ensemble de la communauté hospitalière», rappelle Daniel Cieutat. Le syndicaliste conclut : «C’est l’effectif minimum pour assurer les soins et pour la sécurité des patients et du personnel. Cela n’a pas de prix».

repères

Le chiffre : 1 975

Date d’arrivée >Du syndicat CFDT. Aux Hôpitaux de Lannemezan.

Le poids de la CFDT à l'hôpital

Avec une représentation qui avoisine les 20 % aux dernières élections des représentants du personnel, la CFDT est la deuxième organisation syndicale après la CGT aux Hôpitaux publics de Lannemezan. Le bureau est composé de : Secrétaire : Daniel Cieutat. Secrétaire adjointe : Corinne Rousse. Membres : Claude Moro et Florence Brillouet. Une permanence est tenue tous les jeudis, de 9 heures à 17 heures, au local syndical de l’hôpital. Renseignements complémentaires au 05.62.99.55.97.

Lannemezan. «La Flûte enchantée», ce samedi

Lannemezan. «La Flûte enchantée», ce samedi

culture

Le 14/09/2013
La troupe de l'Arcal./Photo DDR.
La troupe de l'Arcal./Photo DDR.
Samedi, à 21 heures, à la salle des fêtes de Lannemezan, la troupe de l’Arcal d’Arreau présente son spectacle phare de l’année 2013 : «La Flûte enchantée», de W. Mozart, sous la direction d’orchestre d’Anne-Claude Gérard et la mise en scène d’Hervé Carrère. La pièce, créée peu avant la disparition de l’auteur en septembre 1791, est, avec ses textes et ses chants, proche de l’opéra-comique français.
Il s’agit sans aucun doute de l’œuvre la plus engagée de Mozart ; plus philosophique qu’il n’y paraît sous le couvert des drôleries et des pitreries. Mozart évoque la quête spirituelle et les dualités du monde qui permettent d’atteindre la sagesse et l’harmonie.
Chaque personnage de ce conte initiatique doit être vu comme un symbole.
La mise en scène choisie cherche à souligner les dualités de cette quête initiatique tout en mettant en lumière la notion de complémentarité que chacune d’elle sous-tend.
Les personnages ne sont jamais ni noir ni blanc, car ils ne sont pas le bien ou le mal, mais des êtres sujets à toute sorte de sentiments. Ainsi, dans les décors où persiste tout de même une ambiance très industrielle, pointe un petit coin de verdure.
Tarif : 10 €/8 € (réduit). Réservations sur place le soir même de la représentation.

Lannemezan. CAL : avec les jeunes

Lannemezan. CAL : avec les jeunes

Cette saison, le CAL a engagé une équipe de cadettes./Photo J. P.
Cette saison, le CAL a engagé une équipe de cadettes./Photo J. P.
Ce début septembre, c’est aussi la rentrée pour toutes les équipes de jeunes. En attendant le championnat, cadets et juniors disputent le challenge Béarn-Bigorre. Ce dernier week-end, pour l’ouverture, les juniors Balandrade et les cadets étaient en déplacement à Pont-Long.
Les cadets, entraînés cette saison par Bruno Berbizier et Ludovic Colomès, n’ont pas fait de détail en s’imposant 50-12. En revanche, les juniors d’Alphonse Montoro et Frédéric Portal se sont inclinés 17-5. Les Bélascain, entraînés par Thierry Martinerie et Benoît Bornancin, ont joué une rencontre amicale contre Pont-Long qui s’est soldée par une victoire des Bigourdans 13-0.
Bon début aussi pour la nationale B qui a décroché une victoire à l’extérieur (20-10) aux dépens d’Hagetmau pour le premier match de championnat.
Cette saison, le CAL a engagé une équipe de cadettes qui sera managée par Philippe Saint-Picq.
L’école de rugby du rassemblement CA Lannemezan/Magnoac FC/US Capvern/US Ayguette, coordonnée par Didier Kubler et Christophe Delhom, aura pour responsables : Didier Kubler et Jean-Luc Galès pour les moins de 15 ans, Gilles Prat pour les moins de 13 ans, Christophe Delhom pour les moins de 11 ans, Stéphane Dupouts pour les moins de 9 ans et Marc Galera pour les moins de 7 ans. Joël Pailhé

Journées du patrimoine

Plus de 200 idées de visites ce week-end à Toulouse

Journées du patrimoine

Préparez appareils photos et chaussez les baskets pour arpenter les sites des Journées du Patrimoine (ici l'Hôtel d'Assézat à Toulouse)/. Photo DDM. archives
Préparez appareils photos et chaussez les baskets pour arpenter les sites des Journées du Patrimoine (ici l'Hôtel d'Assézat à Toulouse)/. Photo DDM. archives
Vendredi et samedi, les Journées du Patrimoine nous ouvrent grand les portes des monuments, musées, hôtels particuliers, jardins remarquables. Autant de sorties instructives et dépaysantes à deux pas de chez nous.
Les Journées européennes du Patrimoine fêtent ce week-end un double anniversaire, les 30 ans de cette manifestation très populaire, et les 100 ans de la loi de protection des monuments historiques. Une intéressante exposition est présentée dans la salle des écuries de l’Hôtel des Chevaliers de Saint-Jean de Jérusalem, le siège de la DRAC ouvert une fois par an au public (rue de la Dalbade à Toulouse). Elle retrace les principales étapes de la protection des quelque 2 763 monuments classés en Midi-Pyrénées. Le programme des Journées du Patrimoine est comme toujours très dense : pas moins de 1 200 lieux ouverts dans la région, et plus de 200 en Haute-Garonne. Nous présentons quelques idées de sorties originales. L’ensemble du programme régional fait l’objet d’un guide de 28 pages, à retirer dans les monuments, offices de tourisme... On peut le retrouver sur le site des Journées du Patrimoine (www.culturecommunication.gouv.fr/Regions/
Drac-Midi-Pyrenees) et celui de la mairie de Toulouse( culture.toulouse.fr).

Ô mon bateau

L’association «Vivre le Canal», organise «Les Batelleries» une grande fête au Port Saint-Sauveur, à la veille 26e congrès mondial des canaux qui a lieu la semaine prochaine à Toulouse. Des mariniers se joignent à la manifestation pour deux jours de fêtes et de rencontres, avec des conférences, des projections de films, des stands, des expos et un bal le samedi soir. Un batelier européen, Nick Gray, qui a commencé sa vie en transportant du charbon sur les narrowboats en Angleterre viendra présenter les photos prises pendant ses voyages à travers l’Europe.

Les étudiants en histoire de l'art vous guident

Pour la troisième année, des étudiants en Histoire de l’Art à l’université du Mirail jouent les guides bénévolement, pendant le week-end des Journées du Patrimoine. Ils ont prévu cette année tout un circuit sur le thème «Voir et savoir, les fondements de la sauvegarde du patrimoine». Plusieurs promenades guidées sont proposées. Seul impératif s’inscrire au préalable car les places sont limitées. Une étudiante a concocté par exemple tout un périple autour de la découverte de la sculpture en terre cuite de la maison Giscard, très ancienne manufacture toulousaine, en passant par les églises Saint-Aubin, Saint-Sylve, et la «Maison Giscard» demeure de cette famille de sculpteurs (réservation au 06 61 43 68 98 ou mariegfuric@orange.fr). Un autre propose de découvrir la «cathédrale Saint-Étienne» sous l’angle nouveau des vicissitudes et du rayonnement, «entre grandeur et décadence» (tel. 06 12 74 29 32). Entre autres propositions, on peut aussi redécouvrir la basilique Saint-Sernin, «un patrimoine d’exception sur les chemins de Saint Jacques de Compostelle» (inscriptions par mail à aureliacoheny31@gmail.com), décrypter les décors peints du Capitole (Tel. 06 35 22 08 30) , pousser la porte de quelques hôtels particuliers, un «patrimoine à protéger» (tel. 06 30 08 76 48), ou encore aller à la rencontre d’un «monument historique oublié», l’église des Minimes (Tel. 06 70 13 08 36).

Cinémathèque côté réserve

La cinémathèque de Toulouse ouvre les portes de son centre de conservation et de recherche, un lieu protégé, 1 avenue Saint-Martin de Boville à Balma, rarement ouvert au public. La collection comprend 38 000 copies inventoriées de court et de long-métrage d’une soixantaine de pays, elle couvre l’ensemble de l’histoire du cinéma, de 1 896 à nos jours. Visites à 10 heures, 11 h 30, 14 heures et 16heures samedi, à 10 heures et 11 h 30 dimanche. Durée de la visite : environ 1heure
Entrée libre, sur inscription : 05 62 71 92 96 ou conservation@lacinemathequedetoulouse.com

Les coulisses de «ma tante»

Le Crédit Municipal (10 rue Urbain Vitry) alias «le clou» ou encore «ma tante» dévoile ses coulisses. On pourra notamment découvrir des bijoux qui feront l’objet d’une des ventes aux enchères organisées régulièrement par le Crédit Municipal. Des experts dialogueront avec les visiteurs. Samedi et dimanche de 10 heures à 12 heures et de 14 heures à 17 heures.

télégraphe ChappeBouconne

Un vestige à faire découvrir aux enfants qui n’ont connu que le téléphone portable. Au cœur de la base de loisirs de la forêt de Bouconne, à Montaigut-sur-save, est conservé un rare spécimen de télégraphe Chappe, datant du XVIIIe siècle. Il s’agit d’un des sémaphores, mis au point par Claude Chappe en 1794, qui permettaient d’envoyer des messages visuels, à une trentaine de kilomètres de distance. Des démonstrations auront lieu samedi à 10 heures et dimanche à 10 heures et 15 heures.

un château comme dans la Loire

Le château de Valmirande ressemble à un château de la Loire… sauf qu’il est situé à Montréjeau sur la route de Lannemezan à la limite de la Haute-Garonne et des Hautes-Pyrénées. Seulement âgé de 24 ans, Bertrand de Lassus a fait édifier à partir de 1 892 cette extravagante et somptueuse construction néorenaissance, avec sa chapelle, de grands parterres, un parc d’une superficie de 41 hectares. L’ensemble est classé et appartient à un propriétaire privé qui ouvre les extérieurs et la chapelle pour les Journées du Patrimoine. Une visite payante (5 €, 3 € pour les enfants) mais qui mérite le détour. À voir également à Montréjeau, l’Hôtel de Lassus (6 rue du Barry). Dans ce coin du Comminges, ne pas oublier de visiter la cathédrale Sainte-Marie à Saint-Bertrand de Comminges, un des incontournables des Journées du Patrimoine.

Et aussi...

Des artisans montrent leur savoir-faire dans les jardins et les salons de la Préfecture que l’on peut visiter exceptionnellement.
L’Hôpital Marchant (134 route d’Espagne) ouvre ses portes dimanche au public sur la thématique «150 ans de soins».
Grande fête au Muséum (35 allées Jules-Guesde) autour de la thématique «l’aventure des dix années de refondation du Muséum (1997-2008)», et dans les jardins du Muséum (24-26 av. Bourgès-Maunoury).
Visite du trésor de l’église Saint-Victor à Montesquieu-Volvestre samedi de 10 heures à 17 heures.

Lannemezan. Le syndicat Sud fustige la gestion de la direction

Lannemezan. Le syndicat Sud fustige la gestion de la direction

hôpital

Daniel Labarre et Roland Cazeneuve, du syndicat Sud montrent les pétitions signées./Photo C.S.
Daniel Labarre et Roland Cazeneuve, du syndicat Sud montrent les pétitions signées./Photo C.S.
Le syndicat Sud des Hôpitaux de Lannemezan se mobilise contre les mesures prises par la direction «qui entraînent de l’insécurité pour les patients et les personnels».
Le syndicat Sud s’oppose farouchement au projet de la direction des Hôpitaux de Lannemezan concernant les suppressions de postes avec les répercussions qu’elles entraîneront pour le personnel comme pour les patients. «35 équivalents temps plein sont menacés, principalement en psychiatrie, ce qui est inacceptable. Ce projet organise la casse de la continuité de soins et institutionnaliserait le rôle de gardien plutôt que de soignant pour le personnel», explique Roland Cazeneuve, élu du personnel. «La sécurité des patients comme des soignants est gravement mise en danger puisqu’avec ces mesures, le personnel peut être amené à se retrouver seul plus souvent avec 20 à 25 patients», précise Daniel Labarre, le secrétaire du syndicat Sud des Hôpitaux publics de Lannemezan, qui apprécie le début de réaction du corps médical qui, selon lui, «peut faire plus et mieux. Faudra-t-il attendre un drame pour que le directeur se rende compte de la gravité de la situation ?», interroge le syndicaliste.
Le syndicat Sud a participé aux rassemblements du personnel et des usagers contre ces dispositions. «Face à l’entêtement de la direction confirmé au dernier CHSCT, il est urgent que les personnels organisent la résistance et que les élus s’associent au refus exprimé par les salariés», concluent les deux syndicalistes.
Le syndicat Sud compte se faire entendre de plus en plus fortement.

repères

Le chiffre : 5 000

> Signatures. Recueillies en moins d’une semaine pour la pétition contre les mesures du directeur.

contre la mobilité interpole

«Dernière trouvaille d’une direction aux abois, la mobilité interpole qui consiste à déplacer les agents d’un pôle médical à l’autre, au gré des besoins, sans tenir compte de la continuité des soins. Résultat : les soignants déplacés ne connaîtront pas les patients dont ils ont la charge», dénonce le syndicat Sud qui va aller prochainement rencontrer les élus et consulter les personnels des hôpitaux publics de Lannemezan. Sud est joignable au 06.75.54.49.94.

Lannemezan. Reprise à l'école des Triolets

Lannemezan. Reprise à l'école des Triolets

musique

La musique : un épanouissement personnel.
La musique : un épanouissement personnel.
L’école de musique des Triolets reprend ses activités à Lannemezan. Elle propose des cours pour enfants et adultes en classes de solfège, piano, accordéon, chant et éveil musical. L’école prépare également à l’option musique du baccalauréat.
À partir de 3 ans, les enfants peuvent s’inscrire en classe d’éveil. Les cours sont dispensés le mercredi ou le samedi matin. L’enseignement est ludique. Le but recherché est avant tout l’éveil de la sensibilité. C’est un enrichissement et un épanouissement personnel. Pour renseignements complémentaires, s’adresser à Nadine Rémy-Mazeaud, professeur, 92, rue Pasteur, 65300 Lannemezan, tél.05.62.98.12.47.

Lannemezanais pour l'éternité

Lannemezanais pour l'éternité

hommage à Pierre Bleuler

La plaque du square a été dévoilée par Bernard Plano et la famille de Pierre Bleuler./Photos M.C.T.
La plaque du square a été dévoilée par Bernard Plano et la famille de Pierre Bleuler./Photos M.C.T.
Samedi matin, Lannemezan a rendu un bel hommage à son ancien maire, Pierre Bleuler. Au-delà de l’élu, c’est la mémoire d’un homme très apprécié qui a été saluée.
Il était aimé de son vivant. Il est toujours aimé après sa mort. Encore une fois, Pierre Bleuler a rassemblé, samedi matin, bien des Lannemezanais et amis fidèles à l’occasion de l’inauguration d’un square qui porte son nom, près du kiosque, place du 14-Juillet à Lannemezan. Après la plaque dévoilée par Bernard Plano, le maire de Lannemezan, et les enfants de Pierre Bleuler, sa fille Brigitte prit la parole pour dire combien son père aimait sa ville et que celle-ci lui rendait bien. «Lannemezan ne l’oubliera pas. Son nom est gravé dans le marbre. C’est une belle réalisation, un joli havre de paix au cœur de la cité» dit, émue, celle qui était la voix de la famille, toujours attachée à Lannemezan, malgré l’éloignement.
Jean-Claude Subias, le fidèle compagnon de route de Pierre Bleuler, a su ensuite trouver les mots justes pour capter l’auditoire. «C’était un grand maire, un homme d’honneur, un humaniste au grand cœur qui savait aider, servir, écouter et donner. C’est une leçon de vie qu’il nous a laissée» a, notamment confié l’élu lannemezanais.
Il revint à Bernard Plano de prononcer le dernier discours d’hommage. «Je sais qu’il aimait ses concitoyens, qu’il souhaitait pour tous le mieux vivre ensemble et avant tout, il était un honnête homme, tel qu’on le définissait au XVIIe siècle», a déclaré le maire qui conclut par une citation de Vauvenargues, écrivain du XVIIIe siècle : «Ceux qui méprisent l’homme ne sont jamais des grands hommes».

repères

Le chiffre : 24

ans maire de Lannemezan > Pour Pierre Bleuler. De 1977 à 2001.

Un homme respecté à droite comme à gauche

Samedi, pour cet hommage à Pierre Bleuler, étaient, notamment, présents Gérard Trémège, le maire de Tarbes ; Jean-Pierre Artiganave, le maire de Lourdes ; Michel Pélieu, le président du conseil général ; Henri Forgues et Jean-Claude Palmade, les conseillers généraux. Des élus de droite comme de gauche, mais également Stéphane Costaglioli, le sous-préfet de Bagnères ; Pierre Berbizier…

Christophe Dasque donne la victoire au CAL

Christophe Dasque donne la victoire au CAL

Fédérale 1. Lannemezan était en déplacement à Hagetmau et revient avec un premier succès (18 à 6).

Un gros match des Lannemezanais./ Photo R. Théo.
Un gros match des Lannemezanais./ Photo R. Théo.
Lannemezan 18 - Hagetmau 6
À Hagetmau, stade Georges Dumartin. Arbitre : M. Cormier (Limousin).
Mi-temps: 9 - 6
Lannemezan : 6 P Dasque (12, 19, 28, 54, 70, 76)
Hagetmau : 2 P Langlade (10, 42)
Exclusion temporaire : Lannemezan : Héraut (6), Malaret (44). Hagetmau Guyon(48).
LANNEMEZAN: Dasque, Quintana (Viau 40), Héraut (Dubarry 61), Lacrampe, Cazenave, (o) Hernandez, (m) Lafitte (Cieutat 49), Malaret (Seite 78), Lin ( cap), Plo, Daste (Gysberg 75), Doumenjou, Oosthuizen (Barozzi 40), Pujo ( Ducasse 41), Gabarre (Jambaqué 60).
HAGETMAU : Langlade (cap), Danné (Requenna 37), Ducournau, Pardiès, Dubosc, (o) Leroy (Marchini 53) (m) Beuste ( Homère 54), Saint Martin, Larrazet (Gachard 63), Gachechiladze (Lartigau 41), Guyon, Veeckman, Smith ( Saintcricq 41),
Corrihons (Lesburguères 56), Kafoa ( Saldubéhère 60).
Cyril Lin le capitaine le disait à la fin de la rencontre : «Aujourd’hui les deux clés de la rencontre étaient une grosse défense et un buteur e réussite». Le score parle de lui-même. Dix-huit points de Christophe Dasque l’arrière du CAL, et une défense à toute épreuve, qui n’ont laissé quasiment aucun espoir, aucune latitude, aucune franche occasion d’essai aux Hagetmautiens.
Auteur d’une excellente première mi-temps, où ils ont su occuper au pied le camp landais, les Lannemezanais, que l’on sentait peu enclins à élargir le jeu on construit leur succès dans le combat, la conquête et l’abnégation. On regrettera pour autant, que les lignes arrières, qui avaient montré de belles choses contre Périgueux, ne soient et privées de ballons de première main.
Pour autant même réduits à 14 contre durant deux fois 10 minutes, suite aux exclusions temporaires d’Héraut et de Malaret, les Lannemezanais, comme à leurs habitudes, n’ont rien lâché. Et même s’ils ne se sont pas franchement imposés dans un secteur de jeu ou dans un autre, ils ont imposé une telle pression, une telle emprise sur les Hagetmautiens, qu’ils les ont poussés à la faute, donnant l’occasion à leur buteur, dans un grand jour, d’inscrire la totalité des 18 points de la victoire.
Toutefois on retiendra les 10 dernières minutes de la première période, et la fin de la seconde (jusqu’à la 87e) à porter au crédit des Landais, qui à 18 à 6, espéraient encore arracher le point bonus défensif.
On disait les Lannemezanais crispés tendus. Tous avaient probablement en mémoire le début de la saison dernière, lorsqu’ils s’étaient à l’occasion du premier match, inclinés sur la pelouse Bagnèraise.
À coup sûr, à cet égard les hommes de Cyril Lin ont vaincu le signe indien et commencé la saison de la meilleure des manières, par une victoire à l’extérieur. On attend désormais d’eux, que libérés de cette première échéance ils donnent l’entière mesure de leur talent et de leur potentiel.

«ça fait un an que j'attendais ça»

Laurent Dossat (coentraîneur du CAL) : «L’essentiel c’était la victoire. Ça fait un an que j’attendais ça. Nous nous étions promis que nous attaquerions la saison différemment de l’an dernier. En début de rencontre il y avait une boule au ventre qui a eu du mal à s’évacuer. Du coup on a été plus ou moins indisciplinés en première période. Nous voulions t que ça aille plus vite, nous n’avons pas été assez patients. Ce que je veux retenir c’est l’enthousiasme, l’envie, l’amitié la solidarité entre les joueurs. Nous ne sommes pas une grande équipe, mais il y a des valeurs et une fraîcheur qui nous fait plaisir. Nous avons bien travaillé pendant un mois et demi, nous voulions que ça aboutisse d’entrée. C’est fait».
Cyril Lin (Capitaine du CAL) : «C’était un match à l’extérieur. Il fallait le prendre par le bon bout. On voulait à tout prix faire un résultat, c’est fait. On savait que ça allait être compliqué. C’était le premier match de la saison, nous allons en tirer les leçons pour continuer à travailler. C’est vrai nous n’avons pas trop emballé le match, nous n’avons pas trop envoyé, car nous avions peur du contre, d’autant qu’aujourd’hui nous pouvions compter sur Christophe Dasque qui était dans un grand jour. Nous en avons profité. Une grosse défense et un buteur. Aujourd’hui, c’était les clefs du succès».
Baptiste Doumenjou (seconde ligne du CAL) : «La première période a été un peu compliquée au niveau du rythme, nous étions un peu tendus, compte tenu que c’était le premier match. Il se disait beaucoup que ça faisait longtemps que nous n’avions pas gagné à l’extérieur. Nous tenions à cette victoire. Au fil du match nous avons réussi à ouvrir le verrou, et c’est passé, même s’il ne s’agit que de coups de pied. Du côté de Hagetmau nous savions qu’ils comptaient beaucoup sur leur pack, mais finalement c’est là que nous les prenons. Il fallait que nous répondions présents dans le combat. Ça n’a pas été facile, mais la victoire est là, c’est ce qui compte».

Lannemezan. La dame de Brassempouy en visite à Gargas

Lannemezan. La dame de Brassempouy en visite à Gargas

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tourisme

Les visiteurs de  Brassempouy./Photo Jean-Claude Du Pont.
Les visiteurs de Brassempouy./Photo Jean-Claude Du Pont.
Quand deux raretés du gravettien se rencontrent 25.000 après, à Gargas, ça interpelle ! Honneur, donc, à «La Dame à la capuche de Brassempouy» (Landes), la première œuvre sculptée en ivoire de mammouth représentant un être humain. Elle fut découverte par Édouard Piette, à la grotte du Pape, en 1894. Tellement belle et fine qu’elle stupéfia sur le moment. Quant à Gargas, c’est la plus grande concentration de mains négatives au monde. Les trésors sont là ! Mais comment les faire connaître et attirer le public à notre époque ? L’exemple de Nestplori@ peut être un modèle de développement en son genre. Ce fut, sous l’inspiration des élus, notamment Josette Durrieu, dans les années «80-90», que son évolution va s’accélérer et passer du vestige simple à un centre du paléolithique littéralement plongé dans le futur grâce à son complément : Nestplori@, qui attire 30.000 visiteurs par an. Outil pédagogique, enrichissant la visite des grottes, les visiteurs peuvent étudier aussi bien la synthèse paléo des sites du monde, visualiser de grands murs numérisés qui mettent en parallèle le lieu actuel et le lieu habité et sa faune au gravettien, que jouer sur la grande table pédagogique interactive aux questions-réponses… Impressionnés, les invités sont partis ravis et, semble-t-il, avec des pistes d’inspiration pour l’évolution de leur site musée qui commence son aventure.
La sénatrice Josette Durrieu a accueilli à Nestplori@ Odile Lafitte, conseillère générale ; Claude Lasserre, président de la communauté de communes, et les animateurs du site de Brassempouy, venus étudier et s’inspirer de Nestplori@.

repères

Le chiffre : 80

places> offertes pour déguster.

Le restaurant Le paléo

Après l’esprit, c’est au corps qu’il faut penser. C’est donc afin de satisfaire les visiteurs que Nestplori@ a mis en place, depuis juillet dernier, un restaurant : Le Paléo.
Une offre qui va de l’utile à l’agréable pour déguster, à un prix modique, les saveurs du terroir. De surcroît, il est doté, pour l’attente, d’un jeu ludique en 3D, naturellement autour de la préhistoire.

Les belles promesses du CAL

Les belles promesses du CAL

.F1. Les Lannemezanais débutent leur saison, dimanche, à Hagetmau.

Le CAL motivé pour faire un résultat à Hagetmau./Photo archives Rachel Barranco.
Le CAL motivé pour faire un résultat à Hagetmau./Photo archives Rachel Barranco.
Confiants, mais aussi vigilants, les Lannemezanais entament le championnat de fédérale 1 par un déplacement, dimanche, à Hagetmau.
Soucieux de ne pas reproduire les erreurs de la saison passée, où ils avaient perdu leur premier match à Bagnères pour ne pas l’avoir joué, les «rouge et blanc» ont décidé de se «lâcher» pour ce premier rendez-vous d’un championnat que l’on annonce très intéressant avec des équipes ambitieuses.
Et de l’ambition, le CAL en a, cette saison. La qualification est dans les têtes. Dans l’objectif fixé. Même s’il s’agit d’abord et surtout d’assurer le maintien… Le plus tôt possible.
L’équipe dirigée par Laurent Dossat et Vincent Baute a connu peu de mouvements à l’intersaison. Le groupe actuel ressemble beaucoup à celui de l’an dernier, renforcé par quelques joueurs expérimentés (Barozzi, pour ne citer que le plus connu), mais aussi par des jeunes prometteurs. Revigorés par de bonnes rencontres amicales contre les espoirs d’Auch et l’équipe de Périgueux, «les rouge et blanc» veulent réussir leur entrée dans la compétition.
«Nous avons de l’enthousiasme et une grosse envie de bien faire pour ce premier match de championnat. On va demander aux joueurs de jouer libérés, de ne pas avoir de frustration. Aujourd’hui, nous avons des certitudes quant à notre jeu», souligne Laurent Dossat qui ajoute que le groupe a «un bon moral après les matchs de préparation».
L’entraîneur ne s’attend pas pour autant à une partie de plaisir à Hagetmau qui aura à cœur de ne pas se manquer d’entrée face à son public et qui présente des similitudes avec Lannemezan.
«Ces deux clubs incarnent le rugby des villages et ont des valeurs», résume le coach. L’engagement promet donc d’être total. Alors, attention aux fautes et à ces pénalités qui, au final, peuvent faire la différence et coûter cher.
Pour Laurent Dossat, pas de doute, «le plus discipliné l’emportera».
Alors, la détermination bien sûr, mais la maîtrise aussi.
Le groupe du CAL à Hagetmau :
Jambaqué, Gabarre, Pujo, Ducasse, Barozzi (pilier, ex-Brive), Ostruizen, Dasté, Doumejou, Gysbers (2e/3e ligne des espoirs de Pau), Mallaret, Seite, Lin, Plo, Cieutat, Laffitte, Hernandez, Héraut, Dubarry, Lacrampe, Bertrand Viau, Cazenave, Dasque, Quintana (centre, ailier du TPR).

Lannemezan. La réaction de Jean-Charles

Lannemezan. La réaction de Jean-Charles

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point de vue

«Suite à un mouvement des jockeys de plat, jugeant la piste lannemezanaise dangereuse et refusant dorénavant de s’y produire, les dirigeants de «France Galop» ont annulé purement et simplement la réunion la reportant à une date ultérieure sur un autre hippodrome.
Les trotteurs ne sont pas concernés par cette décision, mais comme il n’est pas possible d’organiser une journée de courses avec seulement quatre épreuves, voire cinq, si l’une d’entre elles est dédoublée, il n’y aura pas de courses mercredi prochain sur l’hippodrome de la Demi-Lune.
Cette décision est aberrante, voire scandaleuse, et frappe de plein fouet une société on ne peut plus méritante. Pénaliser des bénévoles qui donnent le meilleur d’eux-mêmes pour le bien d’autrui ; il n’y a qu’en France que l’on voit cela», commente Jean-Charles, notre spécialiste hippique.

Lannemezan. Daniel Couget retrouve ses racines

Lannemezan. Daniel Couget retrouve ses racines

rencontre

Daniel Couget et Jean-Paul Abadie, au micro de «Radio Festival Lannemezan» (95FM).
Daniel Couget et Jean-Paul Abadie, au micro de «Radio Festival Lannemezan» (95FM).
Le chanteur de tango «porteño» Daniel Couget était de passage à «Radio Festival Lannemezan».
Daniel Couget ne réside pas en Bigorre mais à Buenos Aires où il est né. Cependant, ses origines sont bien bigourdanes puisqu’il est l’arrière-petit-fils de Dominique Armand Couget, né à Sentous le 6 février 1844, puis émigré de Puydarrieux aux Amériques en 1865.
Profitant de son voyage pour venir chanter le tango au XVIIIe festival international de Tarbes en tango, Daniel Couget est revenu pour rencontrer sa famille, voir les villages et lieux des maisons natales de ses ancêtres, rencontrer ses cousins et amis de Bigorre, parmi lesquels figurent nombre de membres de l’Abau.
À Buenos Aires, Daniel Couget chante le tango mais gère aussi un cabinet d’assurances internationales, ainsi qu’en Espagne une confiserie de chocolats fins et glaces à Barcelone. Le descendant d’émigré bigourdan, à l’instar de son arrière-grand-père Armando, a une solide vision des affaires, doublée d’une fibre artistique reconnue.
Il se promet de revenir en 2014.

Lannemezan. Une importante vente de bois, ce samedi, au CM 10

Lannemezan. Une importante vente de bois, ce samedi, au CM 10

environnement

Alain Clarens, responsable de l'environnement à la mairie de Lannemezan./Photo C.S.
Alain Clarens, responsable de l'environnement à la mairie de Lannemezan./Photo C.S.
Moment très attendu et important pour bien des Lannemezanais, ce samedi, avec une vente de 600 stères de bois, au CM 10 de Lannemezan.
Une vente de bois aura lieu ce samedi, à partir de 9 heures, au CM 10 (accès par l’allée du Bocage) à Lannemezan. L’essence proposée en grande majorité sera du chêne pédonculé, en branches de calibre moyen. La longueur de coupe est de 2 m. Le prix fixé est de 30 € le stère. La vente est réservée aux habitants de Lannemezan. «Devant la demande de plus en plus forte des administrés, nous avons décidé de réaliser de façon régulière des ventes de bois de chauffage. Cette année, une coupe définitive a été effectuée au rond-point de la Ramondia. Pour une meilleure valorisation, le bois d’œuvre a été vendu à une entreprise. Nous avons destiné le petit bois et les branchages à la population, à un tarif préférentiel», explique Alain Clarens, responsable de l’environnement à la mairie de Lannemezan.
Les lots vont de 3 à 10 stères, pour un total de près de 600 stères. Par mesure de sécurité, un enlèvement le plus rapidement possible après la vente est demandé, de même qu’un paiement sur place, par chèque à l’ordre du Trésor public.
«Selon les disponibilités en bois, la municipalité essaiera de reproduire ce type de vente à intervalles réguliers, sachant qu’il s’agira plutôt de bouleaux, de châtaigniers ou d’acacias», indique Alain Clarens.
La politique étant : pour un arbre coupé, un arbre est replanté.
«Nous voulons mener une politique cohérente concernant la forêt et le bois», conclut Alain Clarens.

repères

Le chiffre : 105

Lots > De bois à vendre. Ce samedi, au CM 10 de Lannemezan.

10 ha de bois replantés

Près de l’entreprise Arkema, la commune de Lannemezan a décidé de planter 10 ha de bois, du noyer, du merisier et du chêne, mais aussi de préserver 3 ha de zones humides.
La plantation est prévue cet hiver et l’hiver suivant. Des subventions ont été accordées par la région Midi-Pyrénées et l’agence de l’eau Adour-Garonne.
Renseignements sur la vente de bois de samedi à la mairie de Lannemezan, au 05.62.40.72.72, ou au 06.29.22.66.75.

Lannemezan. Reprise aux Archers bandouliers

Lannemezan. Reprise aux Archers bandouliers

association

Une association dynamique.
Une association dynamique.
Belle saison 2013 avec de nombreux podiums :
- Trophée des Hautes-Pyrénées remporté pour la 3e année consécutive par les poussins de l’école de tir.
- Championnat départemental 18 m : médailles d’or, Geoffrey Bird, Jacky Prat ; médaille d‘argent, Gisèle Balard, Nicolas Cartier ; médaille de bronze, Louis Concordant, Francis Appert.
- Championnat de ligue 18 m : médaille d’argent : Jacky Prat ; médaille de bronze, Bertrand Lantes.
- Championnat de ligue 50 m : médaille d’or, Gisèle Balard et Francis Appert ; médaille d’argent, Bertrand Lantes ; médaille de bronze, Nathan Ortemann.
- Championnat de ligue 70 m : médaille d’or, Jacky Prat ; médaille d’argent, Gisèle Balard.
Après tous ces bons résultats, il faut penser à la saison 2014. Elle aura lieu au gymnase de Lannemezan.
Horaires : initiation, samedi, de 10 h 30 à 12 heures ; jeunes et adultes, entraînements samedi, de 9 heures à 10 h 30, pour les jeunes archers, et mercredi, 21 heures à 23 heures, pour les adultes. Deux séances gratuites pour les nouveaux. Tarifs des licences 2014 : 7 à 10 ans, 57 €; 11 à 20 ans, 60 €; après 20 ans de pratique au sein du club, 75 €; en compétition, 80 €.
L’encadrement du club donne rendez-vous aux jeunes et adultes qui souhaitent continuer le tir à l’arc ou le découvrir ce samedi, au gymnase de Lannemezan, de 10 heures à 12 heures, pour les inscriptions 2014.
Le club des Archers sera également au Forum des associations, le 14 septembre, dans l’espace du Nébouzan, avec un stand d’initiation où vous pourrez avoir toutes les informations sur le club.